Bonjour Alex, tout d’abord, présente-toi et explique-nous ton parcours !
Alexandre ROSELLI
Bonjour, c’est Alexandre Roselli. Défenseur central, j’ai évolué à l’Olympique Lyonnais pendant 14 ans avant de passer deux années en professionnel du côté du Deportivo Alavés, puis une saison au FC Cartagena. J’ai ensuite joué trois ans et demi au FC Bourgoin-Jallieu, avant de vivre une expérience en Ligue 1 luxembourgeoise.
Le FCLDSD est sur trois victoires lors des trois derniers matchs. On sent une équipe en pleine confiance après un début d’année 2025 plutôt difficile ! Qu’est-ce que le coach vous a dit pour que la machine se remette aussi bien en route ?
Le coach insiste beaucoup sur le travail, la discipline et la confiance, ce qui nous a galvanisés pour relever la tête après ces deux revers consécutifs.
Tu reviens à peine de blessure. Tu as raté plusieurs matchs et tu étais dans le groupe contre Chambéry, mais tu n’es pas entré en jeu. Comment te sens-tu depuis ton retour ?
J’ai raté quelques matchs, mais ma blessure m’a permis de travailler mon foncier très rapidement. J’ai beaucoup axé mon travail sur le cardio et repris l’entraînement collectif depuis maintenant trois semaines. Les sensations sont très bonnes et positives.
Pour revenir sur le match face à Chambéry, qu’as-tu pensé de la performance de l’équipe, qui s’impose une nouvelle fois 0-1 ?
Nous avons réalisé une belle performance en prenant les trois points. Nous avons su arracher la victoire en fin de match, ce qui était mérité.
Ce week-end, vous recevez Bourgoin-Jallieu, ton ancien club ! Est-ce un match spécial pour toi, qui étais encore chez eux l’année dernière ?
À l’aube de cette rencontre, comment l’équipe aborde-t-elle ce match, qui se jouera une nouvelle fois sur le terrain annexe ? Donne-nous ton analyse sur cette équipe de Bourgoin-Jallieu !
Pour finir, Alex, as-tu un petit mot à nous dire sur la saison folle que vous êtes en train de faire ?
Un petit mot sur cette saison : nous sommes un vrai groupe de copains, avec beaucoup de qualité, staff compris. Nous vivons au jour le jour, mais nous sommes conscients de notre potentiel, de ce que nous avons déjà accompli et de ce que nous pourrions encore réaliser pour le club. Nous savons nous battre sur le terrain, et nous comptons le faire jusqu’à la fin pour atteindre notre objectif.
